Table de tir

Salut, je cherche une table de tir pour la lunette
Zénith Bélomo Posp 4x24
Merci

Je ne comprends pas bien ta demande !....Une table de tirs, tu la réalises toi même. Précise ce que tu veux exactement.

Barry a écrit:Je ne comprends pas bien ta demande !....Une table de tirs, tu la réalises toi même. Précise ce que tu veux exactement.

Je ne comprend rien non plus à la question telle qu'elle est posée.

Une table de tir ne s'applique en aucun cas à une lunette ou à une autre mais à une arme et une munition.
Pour l'établir, il faut :
- un logiciel de balistique sur ordinateur
- connaître pour la munition et dans l'arme concernée : vitesse initiale et coefficient balistique du projectile, distance de zérotage de la lunette, altitude, pression atmosphérique, humidité relative, vitesse et direction du vent.

Nous sommes bien d'accord

jacquemet a écrit:

Barry a écrit:Je ne comprends pas bien ta demande !....Une table de tirs, tu la réalises toi même. Précise ce que tu veux exactement.

Je ne comprend rien non plus à la question telle qu'elle est posée.

Une table de tir ne s'applique en aucun cas à une lunette ou à une autre mais à une arme et une munition.
Pour l'établir, il faut :
- un logiciel de balistique sur ordinateur
- connaître pour la munition et dans l'arme concernée : vitesse initiale et coefficient balistique du projectile, distance de zérotage de la lunette, altitude, pression atmosphérique, humidité relative, vitesse et direction du vent.

Heureusement qu'on n'a pas attendu les ordinateurs pour faire des tables de tir...

Je suppose qu'il veut dire, Recherche les distances de tir qui correspondent à chaque graduations sur cette optique pour le calibre 7.62x54. Cartouches manufacturées militaires.

Optique qui se monte sur les SVD.

Un peu comme les points rouges incluant la balistique du 5.56x45 jusqu'à 500m.

1ère méthode : on peut le faire classiquement à partir de tirs à plusieurs distances et en fonction des conditions extérieures. C'est une excellente méthode qui a fait ses preuves.

2ème méthode : faire bosser strelokpro et vérifier par des tirs. Perso, je préfère mais les deux méthodes devraient aboutir à une table similaire.

Suis-je trop moderne ? suis-je fainéant ? suis-je dans l'erreur ?

croizetf a écrit:
Heureusement qu'on n'a pas attendu les ordinateurs pour faire des tables de tir...

Entre Barry et moi-même, tu prêches deux convaincus.
Nous avons tous deux longuement (mais pas ensemble) pratiqué l'utilisation d'à peu près tout ce qui permet de déterminer les éléments de tir d'un tas de matériel différents mais surtout caractérisés par leurs très gros calibres, le genre à avoir une méga fracture du pied en cas de chute de projectile (en gros 15 à 45 kg) sur le pied.

Vive les D1, D2, D3 V° . La température des poudres, le sondage à l'estime, et la préparation calculée à la table de tirs !... Tout est bien plus simple de nos jours, plus rapide et avec moins de source d'erreur possible.
Effectivement, si ma mémoire ne me fait pas défaut, l'obus de 155 avec son anneau de levage devait atteindre les 45 kg.

Bonjour , Barry , tout est bien plus simple de nos jours , ça reste a voir , car il faut déjà le stand de tir qui va bien , le matériel : de quoi voir ses vitesses , avoir des connaissances en informatique , et comprendre notre langage pas toujours évident ,

Oui, tout est plus simple et plus rapide avec un ordinateur.

Mais il vaut mieux aussi savoir se débrouiller quand il tombe en carafe.

Je voulais dire des abaques.
Merci pour vos retours j'ai trouvé la solution.

sniper3rei a écrit:Je voulais dire des abaques.
Merci pour vos retours j'ai trouvé la solution.

MP

Barry a écrit:Vive les D1, D2, D3 V° . La température des poudres, le sondage à l'estime, et la préparation calculée à la table de tirs !... Tout est bien plus simple de nos jours, plus rapide et avec moins de source d'erreur possible.
Effectivement, si ma mémoire ne me fait pas défaut, l'obus de 155 avec son anneau de levage devait atteindre les 45 kg.

Le summum à sans doute été atteins en 1918, ou les artilleurs Français on calculé le point de départ d'un obus de 211 mm ( Obus à gargousse de 106 kg ) ayant traversé un immeuble parisien du toit à la cave sans exploser. Le seul "ordinateur" de l'époque étant la règle à calcul.. https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A8gle_%C3%A0_calcul

http://html2.free.fr/canons/canparis.htm

Dans le cas des Paris Konnnen, il me semblait que la détermination finale des zones où ils étaient implantés avait été réalisée par l'une des toutes premières sections de repérage au son (technique développée en cours de guerre).

Ceci dit, la règle à calcul est un outil bien pratique, mais pour le type de calculs auxquels il est fait allusion (différentielles / intégrales), je pense que la bonne vieille table de logarithmes est mieux adaptée.

Pour ce que j'en sais, Les départs de coups étaient mêlés à des tirs d'artilleries sur le front. Les pièces ne tiraient qu'une soixantaine de coups avant réforme du tube (donc ils avaient le temps) Les lignes "Amis" les plus proches était en limite de porté Alors l'observation au son... Jette un œil ici https://www.chemindesdames.fr/sites/default/files/2018-04/De-guerre-lasse-1918-web.pdf tu verra la distance du front par rapport à Laon. L'emplacement bétonné page 34 est toujours visible aujourd'hui
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4606051d/f1.highres
Il est sûr que tout les moyens de l'époque ont été monopolisé, Ici le sujet sur le blog du 1° RAMa http://1rama.unblog.fr/2011/12/23/le-paris-kanone/
L'obus dans l'immeuble, je l'avais lu dans une revue d’après guerre, "Pages de Gloire"

Je me suis intéressé à ce canon mythique , parce que ma grand mère avait 12 ans à l'époque, elle était une petite ardennaise réfugié à Paris. Et je peu te dire que nous avons entendus parler des deux guerres durant notre jeunesse